Jeudi 1er novembre, 17h,
Chant Sacré,
Requiem en ut de Michaël Haydn et Cantate n°12 "Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen", de Jean-Sébastien Bach, entrée libre, plateau.
Le Chant Sacré, orchestre, solistes et chœur sous la direction de Bernard Brinkert ouvrira la saison de musique spirituelle au temple Saint Etienne avec un très beau programme où figure notamment le Requiem en ut de Michaël Haydn, une œuvre magnifique très rarement jouée en Alsace.
Le jeune frère de Joseph Haydn composa en 1771 cette partition profonde et inspirée. Les chœurs, particulièrement sollicités et soutenus par des sonorités orchestrales souvent surprenantes, étonnent par leur grande diversité expressive. Mozart, ami de Michaël Haydn et fin connaisseur de son œuvre, ne s’y est pas trompé puisque son célèbre Requiem, écrit vingt ans plus tard, recèle de saisissantes ressemblances musicales avec celui de son prédécesseur.
Larmes, plaintes, soucis, craintes, la Cantate BWV 12 fut écrite à Weimar en 1714 par un Bach de vingt-neuf ans. Elle évoque les tourments et la mort qui attendent le Christ et les chrétiens, puis la joie du salut qui leur est réservé. Cette belle méditation est portée par une musique puissamment contrastée d’où le compositeur a extrait plus tard le Crucifixus de sa grande Messe en si.
Le Chant Sacré, orchestre, solistes et chœur sous la direction de Bernard Brinkert ouvrira la saison de musique spirituelle au temple Saint Etienne avec un très beau programme où figure notamment le Requiem en ut de Michaël Haydn, une œuvre magnifique très rarement jouée en Alsace.
Le jeune frère de Joseph Haydn composa en 1771 cette partition profonde et inspirée. Les chœurs, particulièrement sollicités et soutenus par des sonorités orchestrales souvent surprenantes, étonnent par leur grande diversité expressive. Mozart, ami de Michaël Haydn et fin connaisseur de son œuvre, ne s’y est pas trompé puisque son célèbre Requiem, écrit vingt ans plus tard, recèle de saisissantes ressemblances musicales avec celui de son prédécesseur.
Larmes, plaintes, soucis, craintes, la Cantate BWV 12 fut écrite à Weimar en 1714 par un Bach de vingt-neuf ans. Elle évoque les tourments et la mort qui attendent le Christ et les chrétiens, puis la joie du salut qui leur est réservé. Cette belle méditation est portée par une musique puissamment contrastée d’où le compositeur a extrait plus tard le Crucifixus de sa grande Messe en si.
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