Exposition du centenaire de la première guerre mondiale

Blessures de terre, humaines racines

Journal du Vieil-Armand

Lettres de Poilus

Dans le cadre du centenaire de la Première Guerre mondiale, les lycéens des classes de Première du Lycée Amélie Zurcher de Wittelsheim, exposent leur travaux au temple Saint-Étienne de Mulhouse du 8 au 23 novembre 2014.

Exposition ouverte tous les jours, (sauf le mardi) de 13h à 18h, entrée libre

Après une visite des vestiges du champ de bataille du Vieil-Armand en octobre 2013, les élèves ont, dans le cadre de leur cours d'Histoire, proposé une relecture des épisodes de la guerre sur ce sommet vosgien.

La classe de 1L de M Dumez a travaillé sur le thème du journal de guerre :

"Vous êtes un combattant (français ou allemand) et vous vous trouvez sur le sommet du Vieil Armand en 1915. Racontez vos journées (deux ou trois au moins). Vous respecterez le contexte historique et vous vous efforcerez de nous faire ressentir leurs doutes, leurs peurs et leurs espoirs. Votre travail peut aussi être accompagné d'illustrations, dessins..." 

La classe de 1ES de Mme Sardier a travaillé sur le thème des Lettres de guerre :

Dans le cadre d'un concours organisé par la Fondation Varenne, "Mots de guerre", les élèves de 1ère ES ont sélectionné des lettres de poilus auxquelles ils ont dû répondre en se mettant "dans la peau" d'un père, d'une épouse ou d'un fils de soldat.

La classe de 1S de M EBNER a travaillé sur le thème les blessures de la terre au Vieil-Armand, cent ans après le conflit :

A partir d'une photographie, prise en 2013, montrant les marques de la guerre dans le paysage du Vieil-Armand aujourd'hui, les élèves ont du sélectionner et associer un document historique datant de la Première Guerre mondiale. Après avoir réalisé une explication historique et une lecture de paysage de ces deux documents , ils ont présenté leur travail dans le cadre d'une recherche picturale s'appuyant sur les grands courants artistiques du début du XXème siècle. Enfin, ils ont titré leur planche par une phrase tirée de leurs lectures sur la Première Guerre mondiale.

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