La théologie pour les curieux - 1

Samedi 31 octobre 2015


Les questions posées


Les livres présentés


Parce que la curiosité passe par les livres, une petite sélection arbitraire de publications récentes soit pédagogiques soit qui ouvrent des perspectives théologiques, qu'elles soient protestantes, catholiques, juives ou musulmanes.

En collaboration avec notre partenaire, la librairie



 Le regard d'un sage

Historien des mentalités, Jean Delumeau, revient, au soir de sa vie (il est né en 1923) sur les grandes questions religieuses qui ont forgé notre modernité et comment elles se transforment aujourd'hui.

Tout se passe comme si nous revenions à une époque de peur, en tout cas d'angoisses et d'inquiétudes relatives à l'avenir même du christianisme dans le monde d'aujourd'hui.

Jean Delumeau fait quant à lui le pari de l'avenir de la foi chrétienne à la condition que le christianisme retrouve sa signification profonde qui est d'être avant tout un humanisme et renoue avec la capacité d'adaptation et de transformation dont il a fait preuve tout au long de son histoire.

CNRS Éditions, septembre 2015, 24€


Une leçon de blasphème

Sous-titré "Pour un catholicisme blasphématoire", cet ouvrage de Henri Quantin revient sur le seul vrai blasphème, le seul scandale, absolument indépassable : la mort du Christ, c'est-à-dire de Dieu, sur la croix.

À partir des évènements de janvier 2015, et au détour d'un périple dans la littérature, de Léon Bloy à Huysmans, en passant par Houellebecq, Voltaire ou encore Cavanna, Quantin bouscule les blasphémateurs modernes qui ne sont pas à la hauteur. Avec la verve d'un apôtre Paul annonçant le Christ "scandale pour les juifs, folie pour les païens", il rappelle que "tous les hommes représentent leur idole en pleine gloire, les chrétiens représentent leur Dieu en déroute", devenant ainsi l’icône de toutes les victimes des barbaries. Une critique amicale à l'égard de ceux qui croient avoir inventé la libre pensée.

Éditions du Cerf, octobre 2015, 15€

S'interroger pour comprendre

Malek Chebel est un inlassable pédagogue au long d'une œuvre dédiée à une meilleure connaissance de l'Islam dans une compréhension libérale.

Qu'il s'agisse d'une nouvelle traduction du Coran, des grandes figures de l'Islam ou de son dictionnaire pour changer l'Islam, chaque livre de Malek Chebel est une invitation à une coexistence pacifique et respectueuse pour tous, pour ceux qui croient au ciel comme pour ceux qui n'y croient pas.

Éditions La Boétie, 2013
Éditions Taillandier, Texto, octobre 2015, 9€


 Revenir à nos sources

Marc-Alain Ouaknin est un formidable conteur, érudit et vulgarisateur de la pensée juive contemporaine.

Il raconte ici la geste d'Abraham, Moïse et tous les autres qui peuplent ces cinq premiers livres de la Bible également appelés la Loi alors qu'il n'y est pas seulement question de loi mais bien plutôt d'une alliance entre le mystère et des individus en chemins dans leurs déserts.

Éditions du Seuil, 2009, format de poche, 168 pp., 8,60€

L'humanité de Dieu

Gabriel Vahanian disait que l'on devrait faire de la théologie sous la forme d'un roman. Et c'est ici le projet d'Olivier Merle qui fait de Jésus le héros, au sens littéraire, de ce roman.

Il nous livre un Jésus profondément humain, qui est tout entier dans la rencontre de l'autre, parce que l'autre, qu'il soit frère, ami ou ennemi, juif , romain ou syrien, est d'abord l'image de l'Autre, celui qui le pousse, l'entraîne.

Mais surtout il raconte la naissance de l'Église, de ceux qui vont aller à sa suite.

Ni récit documentaire, ni thèse, ce roman historique assume sa part d'invention, ses partis pris et ses hypothèses, sans jamais prétendre à l'absolue vérité mais c'est justement dans cette honnêteté que se trouve tout son intérêt.

Éditions de Fallois, octobre 2015, 493 pp., 22€

Théologiens protestants: l'américain Ralph Waldo Emerson


 L'un des chefs de file du transcendantalisme américain, sous la plume de Philippe Aubert, Mulhouse Saint-Paul



Concert de la Toussaint

Un concert spirituel de la Toussaint sera donné par le Chant Sacré de Mulhouse, le 1er novembre au temple Saint-Étienne, sous la direction de Bernard et Luc Brinkert. Le programme sera entièrement signé Jean-Sébastien Bach, avec pour commencer la cantate BWV 131 Aus der Tiefen.

La cantate Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu Dir (Du fond de l’abîme je crie vers Toi) est l’une des plus connues du cantor. Écrite en 1707 par un compositeur de 22 ans, elle illustre le psaume 130, le De Profundis des liturgies chrétiennes. L'œuvre enchaîne, sans récitatifs ni airs da capo, cinq mouvements aux tempi très contrastés et aux couleurs variées, évoquant les supplications angoissées, puis l’attente fervente et enfin, dans un chœur très développé, les ultimes paroles d’espoir du psaume 130 par un allegro joyeux.

Souffrances et espérance

Luc Brinkert donnera ensuite une interprétation pianistique de la partita BWV 767 O Gott, du frommer Gott, composée initialement pour l’orgue. Puis, le chœur et l’orchestre poursuivront avec la cantate BWV 146 Wir müssen durch viel Trübsal gehen. « C’est par beaucoup de tribulations qu’il nous faut entrer dans le royaume de Dieu » : dès son titre, un verset des Actes des apôtres, la cantate 146 promet des épreuves et des tourments. Bach réécrit ici son célèbre concerto pour clavecin en ré mineur, qui ainsi revisité devient une vaste et belle sinfonia d’ouverture, puis une sorte d’ostinato confié à l’orchestre et aux voix de basse, tandis que celles des sopranos dominent la composition d’origine dans un lamento proche de l’esprit des Passions. Les interventions des solistes, et en particulier une belle aria confiée au soprano et à la flûte, évoquent alternativement les souffrances dans le monde et l’espérance du royaume, sur le thème du psaume 126 : « Ceux qui sèment avec larmes moissonneront dans la joie ». 
 
Une méditation qui convient bien au temps de la Toussaint.

Y ALLER
Dimanche 1er novembre à 17h au temple Saint-Étienne, place de la Réunion à Mulhouse. Entrée libre, corbeille.

Mieux comprendre la théologie

Nous avons tous une idée de Dieu, de la religion et de la spiritualité mais les questions que nous nous posons ne trouvent pas forcément de réponses.

Pour essayer d'apporter des éléments de réponses, nous vous proposons un nouveau rendez-vous, au temple Saint-Étienne.

"La théologie pour les curieux", c'est un projet de vulgarisation théologique où toutes les questions, quelles qu'elle soient, ont leur place. La seule condition est d'être curieux de comprendre.

C'est tous les quinze jours au temple Saint-Étienne, et c'est évidemment en entrée libre et ouvert à tous, sans aucun condition d'appartenance confessionnelle.

Une rencontre animée par Roland Kauffmann, pasteur-animateur de Saint-Étienne Réunion

Romantics songs à l'Heure Musicale

Heures Musicales
Temple Saint-Étienne
à 17h
entrée libre plateau

Samedi 24 octobre 2015


Le duo Malicanto composé de la soprano Marie Bochelen et du pianiste Lionel Ramousse donnera un récital composé d'œuvres de Chopin, Schumann, De Falla et Chausson.

 

Marie Bochelen

Née à Mulhouse en 1986, c'est à l'âge de 12 ans qu'elle découvre le chant lyrique en intégrant la chorale « La Cigale de Champagnat » à Issenheim qui obtient de nombreux premiers prix aux concours nationaux et internationaux. En 2009, elle obtient son Master recherche en Musicologie avec mention ainsi qu'une bourse de mérite et en 2012, son Master Enseignement en éducation musicale et chant choral.
En parallèle, elle entre à l'Académie de musique de Bâle dans la classe de chant de Michel Pavlu, puis continue ses études musicales au Conservatoire Russe Rachmaninov de Paris dans la classe de chant de Nadia Wroblewska. Elle entre au Conservatoire National de Région de Strasbourg dans la classe de chant de Silvana Torto et dans la classe de piano de Michel Gaechter où elle obtient son certificat de piano complémentaire en 2010 et son diplôme d’études musicales en chant lyrique en 2012. En 2014, elle réussit son concours d’entrée en Master de chant lyrique à la Haute Ecole de musique de Lausanne, site de Fribourg dans la classe de Madame Jeannette Fischer.

Elle a déjà à son actif plusieurs interprétations de rôles sur scène ainsi qu’une solide expérience de choriste (Chœur de Haute-Alsace et Chœur de l’orchestre philharmonique de Strasbourg). Elle participe à de nombreux concerts, accompagnée par l’orchestre Collegium Musicum de Mulhouse sous la direction de Jan Sosinski, par l’orchestre de Madame Valérie Seiler et le FSS Orchester sous la direction de Carsten Schulz. En 2014, elle forme le duo Malicanto, avec le pianiste Lionel Ramousse avec qui elle participe entre autres au festival international de musique classique de Colmar.

Lionel RAMOUSSE
Les études débutées en 1982 au CNR de Saint-Etienne sont couronnées en 1992 au CNSM de Lyon, dans la classe d'Eric Heidsieck, par un premier prix de piano. Lionel Ramousse est sélectionné pour participer aux Master Classes de Cyprien Katsaris et François-René Duchable. Il enseigne le piano à l'EMMO d'Obernai depuis 1993 et obtient un premier prix au concours national de Villemomble en 1994.
Il est un des membres du trio Coriolan qui donne régulièrement des concerts à Strasbourg dans le cadre de sa saison annuelle et qui se produit dans toute l’Europe, notamment en Pologne. En 2000, il participe au festival international de flûte d’Obernai et accompagne des solistes de renommée internationale tels que Shigenori Kudo et Philippe Bernold.
Il est très régulièrement sollicité pour jouer avec l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg et l’Opéra du Rhin. Il forme deux duos : « le duo Courtoisie »,  avec la violoniste Isabelle Hermann et « le duo Malicanto » avec la soprano Marie Bochelen.
Il poursuit également une carrière de soliste, en se consacrant particulièrement à ses compositeurs de prédilection : Chopin et Rachmaninov, notamment le deuxième concerto qu'il a interprétés avec orchestre en 2012 à Strasbourg, Lyon et Saint-Étienne.





Mozart en Requiem au temple

Nul besoin de présenter le chef-d’œuvre de Mozart, nous aurons le privilège de l'entendre ce jeudi 22 octobre à 20h avec le chœur et les solistes de l'opéra de Prague.

Billets en vente auprès de l'Office du tourisme 03 89 35 48 48

Attention, il risque fort de ne plus y avoir de places pour la caisse du soir

Youth ou l'essence de l'homme

Le dernier film de Paolo Sorrentino, Youth, a reçu un accueil pour le moins partagé. Au point que l'on peut se demander si les critiques ont vu le même film.

Pourtant il pose de manière magistrale la grande question de ce qui est le propre de l'homme en interrogeant ce qui fait l'ultime de l'existence: que faire quand on a fini sa vie? Ou plutôt quand on croît que le passé est plus riche que le peu d'avenir qu'il nous reste et que finalement l'on se rend compte de son erreur.

L'absolue liberté revendiquée par les deux amis, interprétés par les extraordinaires Michael Caine et Harvey Keitel, l'un retranché dans sa peine et le sentiment d'avoir tout perdu, l'autre exalté par un projet dont il sait bien l'inéluctable échec alors même qu'il s'accroche à sa possibilité, est une véritable leçon de vie par le petit bout de la lorgnette.

Youth ne cherche pas à répondre à la question qu'il pose, au contraire le film se libère à son tour de toute forme de sens, ne cherchant à en imposer aucun. Un peu comme ce formidable "Concerto pour vaches" que Fred compose dans l'alpage, une musique rare parce qu'elle se vit dans le silence. Ou encore comme ce film où Mick voudrait incorporer tous les personnages de ses précédents films, lesquels le jugent ou le révèlent comme démiurge à la merci de ses créatures.

D'une forme extraordinaire, Youth est fondamentalement construit sur le désir comme moteur de la vie et dont Spinoza fait l'essence même de l'humanité. L'on ne vit qu'aussi longtemps que l'on désire, telle pourrait être l'une de ces leçons de vie. C'est pourtant Fred, qui se croit déjà aussi mort que sa femme, qui pourra la faire revivre à travers l'avatar d'une nouvelle interprète de son œuvre maîtresse.

En acceptant finalement ce qu'il refusait, même à la reine d'Angleterre, il donne une nouvelle interprétation de la parole de l'Évangile : "laisse les morts enterrer leurs morts", car il est vain de vouloir oublier son passé et s'interdire ainsi un futur.

Michael Caine et Harvey Keitel sont accompagnés par les bouleversants de fragilité Rachel Weiss (Léna) et Paul Dano (Jimmy) qui, chacun à leur manière et du haut de leur jeunesse, en contrepoint à la vieillesse de Fred et Mick, vont trouver un nouvel horizon pour devenir leur propre désir, du moins lorsqu'ils seront parvenus à pardonner, pour Léna, ou à comprendre, pour Jimmy.

Une œuvre rare!

Excursus: symptomatique de l'état d'esprit mortifère de notre temps, sur le site figaro.fr, le trailer est signalé comme ayant un "contenu explicite" par "certains membres de Dailymotion" qui imposent une censure de fait, par l'obligation d'être inscrit et de se déclarer majeur. Nul besoin désormais d'un État totalitaire, il suffit de se poser en censeur d'autorité sur les réseaux que l'on peut dorénavant nommer "asociaux" parce qu'ils érigent le sens de quelques uns en norme pour le plus grand nombre. Une sombre bêtise face à un film aussi lumineux.

Grieg pour le concert de la Réformation avec le Collegium Musicum de Mulhouse

Pour le dernier concert dirigé par Jan Sosinski à l’occasion de la fête de la Réformation organisée par le Consistoire réformé de Mulhouse, le programme est entièrement consacré au célèbre compositeur norvégien, Edvard Grieg, dont la notoriété est notamment due à un grand sens du lyrisme et de la mélodie.

Natasa Bekcic Andric
Reconnu comme un véritable génie dans les pays scandinaves, pianiste et compositeur talentueux, ses œuvres sont particulièrement célèbres en Norvège, et on les considère souvent comme l’identité musicale de son pays, mélange de tradition, folklore musical et romantisme européen de la fin du XIXe siècle. En Europe, il est surtout connu pour les trois pièces données ici, un poème symphonique, un grand concerto, et une œuvre plus intimiste pour ensemble à cordes. De nombreux thèmes sont repris dans des indicatifs ou spots publicitaires
 
La Suite Holberg est une suite musicale en cinq mouvements écrite afin de célébrer le bicentenaire de la naissance du dramaturge et auteur danois Ludvig Holberg. Quoique composée à l'origine comme une œuvre pour piano, la version la plus célèbre de nos jours est l'arrangement pour orchestre à cordes fait par Grieg en personne. On remarquera sans difficulté les analogies entre cette musique et certaines suites baroques de Bach, contemporain de Holberg, ainsi que les accents folkloriques particulièrement présents dans le rigaudon, essentiels dans l'œuvre de Grieg.

Le Concerto pour piano op. 16, œuvre de jeunesse, fait partie du répertoire incontournable des pianistes-concertistes déjà du temps de Grieg. Franz Liszt l’appréciait comme le public, certainement en raison de son lyrisme où la virtuosité est présente sans être gratuite, et au service d’une expression spontanée. Souvent comparé à celui de Schumann qui est dans la même tonalité, il forme avec lui un duo représentatif de l’art pianistique de la période romantique.

La soliste Natasa Bekcic Andric, jeune pianiste d’origine serbe, est à découvrir absolument ! Récompensée par de nombreux prix nationaux et internationaux dans son pays, elle obtient un Master en piano, en musique de chambre avec « Grande Distinction », et un Postmaster à Bruxelles. Après un parcours en Ex-Yougoslavie, elle s’installe en France où elle poursuit sa carrière d’enseignante et de musicienne. Elle se produit en récital et en musique de chambre en France, Belgique, Autriche, Serbie et Croatie.

En 1874, à la demande du dramaturge norvégien Henrik Ibsen, Edvard Grieg compose une musique de scène pour la pièce de théâtre Peer Gynt. La forme opéra a été délaissée depuis, mais les deux suites pour orchestre qui en sont tirées obtiennent un succès considérable en tant que musique de concert. C’est la première suite qui terminera celui-ci. Organisée comme une symphonie, elle réunit des passages des actes II, III et IV tout en reprenant les grandes étapes dramatiques de la pièce. Le matin fait office d’ouverture, la mort d’Ase est d’un caractère dramatique, La danse d’Anitra, un divertissement, et Dans la Halle du roi de la montagne conclut sous forme d’un final paroxystique.

Y aller :
Dimanche 25 octobre à 17h au temple Saint-Étienne de Mulhouse Place de la Réunion
Entrée libre - Plateau

Les Harmoniques à l'Heure Musicale



L'Heure Musicale du temple Saint-Étienne s'associe au Festival Sans Nom pour offrir au public mulhousien l'évènement du Concert littéraire de Marcus Malte.

​Les mots de Marcus Malte, extraits de son roman "Les harmoniques", mis en bouche par l'auteur lui-même et accompagnés, portés, soulevés à bout de voix et de doigts par ces deux magnifiques musiciens que sont Gérard Maurin et Virginie Teychené.


​Du jazz, du vrai.

De Cole Porter à Miles Davis, de Coltrane à Mingus, de Lester Young à Billie Holiday : ils sont tous là. Qui rôdent entre les lignes, entre les pages, traînent leur blues aux côtés de Mister, de Bob, de Vera, personnages hantés et désenchantés, héros si humains de cette histoire.


De la littérature, de la vraie.



​Les deux univers se conjuguent, fusionnent, unis pour le meilleur et le meilleur. Le swing et la poésie, le rythme et l'émotion.

Samedi 17 octobre à 17h au temple Saint-Étienne- Entrée libre

Le dog des Baskerville

Le Festival Sans Nom est de retour à Mulhouse et son spectacle d'ouverture est au temple Saint-Étienne avec Le dog des Baskerville.

Comédie musicale autour du roman de Sherlock Holmes- Entrée libre


En l'absence du docteur Watson, voilà le célèbre détective Sherlock Holmes et sa nouvelle assistante, Imogène Mc Fly, engagés dans une dangereuse enquête qui les conduit du 221B, Baker Street, à la lande brumeuse d'Écosse.


Une malédiction pèse sur la famille des Baskerville et la rumeur dit qu'un gigantesque dog sème la terreur autour du manoir. Sir Henry, le dernier de la lignée, court assurément un grand danger.

Alors... le dog des Baskerville, réalité ou légende ?


Une libre adaptation du roman de Sir Arthur Conan Doyle : Le chien des Baskerville.


Vendredi 16 octobre 2015 à 18h45 au Temple Saint-Étienne.